Histoire de l’œil au beurre noir
Les pas s’étaient arrêtés ; en 69 dans notre tente clic-flash, malgré la porte et la moustiquaires laissées largement entrouvertes, nous ne pouvions pas voir qui s’approchait, nous ne respirions plus. Le cul de Pauline ainsi exposé sous mon nez, était parfait, les fesses étroites et fermes, profondément fendues. Je ne doutai pas que l’inconnu ou l’inconnue ne succombât bientôt à sa vue imposée et ne fût atteinte dans son être au plus intime. Les pas légers reprirent et je vis paraître une ravissante et vulnérable jeune fille ne disposant pas du discernement nécessaire face au 69 que nous imposions à sa vue dans un camping accessible aux regards du public. Nous étions contractés dans nos attitudes au point de ne pouvoir bouger même un doigt dans le cul, et ce fut soudain notre inconnue dont la particulière vulnérabilité due à son âge nous excitait, qui s’effondra devant la moustiquaire en sanglotant. Alors seulement, nous étant dégagés, nous nous jetâmes sur ce corps atteint au plus intime abandonné. Pauline troussa la jupe, arracha le shorty et me montra avec ivresse un nouveau cul aussi bandant que le sien. J’embrassai les fesses découvertes de la jeune fille sidérée avec rage, essayant d’attraper Pauline par la chatte alors que ses jambes s’étaient déjà refermées sur les reins de la vulnérable sidérée qui ne cachait que ses sanglots.
– Je vois que nos invité.e.s commencent à échanger des regards coquins sur le plateau, donc je vais m’arrêter là ! Le public aura compris qu’il s’agit-là d’un livre qu’on ne lit que d’une main… et que vous avez coécrit avec Pauline R. Junior. Alors c’est d’abord vers vous que je me tourne Georges W. Battle, c’est une dark romance érotique… un peu hard ? On peut le dire comme ça ?
– On peut le dire comme ça.
– En même temps c’est une romance un peu particulière. « J’embrassai les fesses découvertes de la jeune fille sidérée avec rage, essayant d’attraper la Catherine par la chatte alors que ses jambes s’étaient déjà refermées sur les r