Christian Boltanski : « Il n’y a pas d’après-guerre »
C’est avec le monde qu’on entre dans un musée ou une galerie, le monde comme il va, ou pas. Et c’est une salle de réanimation qui s’offre d’emblée lorsqu’on pénètre, saisi, la nouvelle exposition de Christian Boltanski, « Après ». Comme une version froide, clinique, blanchie, et en trois dimensions, des images thermiques qu’Antoine d’Agata a produites ces derniers mois dans ces services hospitaliers. Là encore les contours s’évadent, des semblants de lits médicalisés recouverts de montagnes de « Linges » (c’est le titre de la pièce) sont agencés, bousculés dans un co...
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