Macron et la « funeste connerie », une mauvaise fable démocratique
Après les noms d’Alberto Fujimori, Hugo Chavez, Daniel Ortega et Evo Morales faudra-t-il bientôt ajouter celui d’Emmanuel Macron à la liste des dirigeants démocratiquement élus ayant succombé à une dérive autocratique ? Le président de la République vient en effet de qualifier de « funeste connerie » la règle constitutionnelle lui interdisant de briguer un troisième mandat.
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