Clélia Barbut

Historienne de l’art, enseignante-chercheuse et critique d’art, Clélia Barbut est associée à l’Équipe d’Accueil Histoire et Critique des Arts de l’université Rennes 2. Après une thèse sur les pratiques artistiques performatives pendant les années 1970 en France et aux États-Unis, elle poursuit aujourd’hui ses recherches au sujet de leur rapport aux archives et à la transmission. Depuis 2019, elle est postdoctorante et responsable scientifique du programme de recherches Performance Sources, dans le cadre duquel elle a publié un essai intitulé Performance Matters (2023). Elle est actuellement lauréate d’un financement du Centre National des Arts Plastiques pour un projet intitulé Généalogies de la performativité.

Elle a publié au sujet des archives orales (« Raconter la performance. Entretiens avec Esther Ferrer et Nil Yalter », in Intermédialités n° 29, 2017), des pratiques féministes en art (« Transmission et mémoire des pratiques féministes en art des années 1970 », in M.-L. Allain Bonilla, É. Blanc, J. Renard, E. Zabunyan (dir.), Constellations subjectives. Pour une histoire féministe de l’art, Editions iXe, 202), des partitions (« Temporal Drag, scores for memory », in Kunsttexte, 2020), de l’histoire des expositions (« Les pratiques performatives à la Biennale de Paris, 1971-1985 : généalogies et glissements », in E. Dulguerova (dir.) La Biennale internationale des jeunes artistes. Paris 1959-1985, Presses de l’INHA, 2023).