Auteur·e·s
Maggie Nelson
Poète, essayiste et critique d’art américaine née en 1973, Maggie Nelson est également professeure de littérature à l’American Academy of Arts and Sciences.
La famille queer, le genre, l’identité sexuelle, l’histoire de l’avant-garde, la philosophie, la théorie critique sont les thèmes et domaines que l’on rencontre dans une œuvre où se mêlent brillamment les formes (récit, autobiographie, essai, etc.). En France, ont été publiés en français, aux Éditions du sous-sol, Une partie rouge (2017), Les Argonautes (2018) et Bleuets (2019), Jane, un meurtre (2021) et De la liberté (2022).
Ses écrits ont été traduits de l’anglais (américain) par Jean-Michel Théroux (Les Argonautes), écrivain et traducteur québécois, anciennement directeur littéraire des Éditions Triptyque ; Julia Deck (Une partie rouge et Jane, un meurtre), romancière publiée aux Éditions de Minuit et enseignante en école de journalisme ; Céline Leroy (Bleuets et Jane, un meurtre), traductrice de Don Carpenter, Deborah Levy, Rebecca Solnit, Rachel Cusk, Jeanette Winterson, Reneta Adler, Edmund White… ; et Violaine Huisman (De la liberté). Cette dernière a été remarquée pour ses deux romans publiés chez Gallimard, Fugitive parce que reine (2018) et Rose désert (2019). Elle a notamment traduit Un crime parfait de David Grann et La Haine de la poésie de Ben Lerner, publiés aux Éditions Allia. Elle a par ailleurs co-fondé The Floor, un centre culturel à Brooklyn qui accueille des artistes en résidence.